SWIMRUN SERIES| Équipement | Plaquettes de natation
Swimrun
14 août 2018
Comme nous le faisons ces dernières semaines chez Orca, nous continuons avec le swimrun, cette fois-ci pour parler de l'équipement et plus précisé...
Les transitions sont essentielles lors d’une course de swimrun. Si en triathlon il est important de prévoir et s’entrainer pour la T1 et la T2, en swimrun, où les transitions sont...
Aujourd’hui chez Orca, nous revenons sur un élément de haute importance : les transitions eau/terre.
Les transitions sont essentielles lors d’une course de swimrun. Si en triathlon il est important de prévoir et s’entrainer pour la T1 et la T2, en swimrun, où les transitions sont multiples et les conditions auxquelles on peut être confronté sont très variables, s’entrainer à cela est crucial pour ne pas perdre trop de temps.
Il faut tenir en compte que les conditions des transitions peuvent varier, non seulement de courses en courses mais également au sein d’une même course, et ces conditions pourront se voir elles-mêmes altérées par les conditions climatiques, raison pour laquelle il faut être bien préparé à ce qui peut survenir.
Sur la vidéo de « comment s’entrainer aux transitions » vous verrez plus en détail comment pratiquer les entrées et sorties dans l’eau, mais à continuation nous vous offrons quelques conseils pour affronter les transitions le jour de l’épreuve.
TIP 1 | Revoir les différentes entrées et sorties auxquelles vous serez confronté
Cela peut être compliqué si la course a lieu loin de notre domicile et si nous ne sommes pas familiarisés avec l’environnement ; ou si nous devons nous rendre sur les lieux la veille au soir ou pire encore, le jour même de la course.
Si c’est le cas, les conseils suivants apportés dans cette vidéo sont utiles pour mieux affronter les transitions. Si possible, il est toujours mieux de faire un repérage des lieux ou se déroulera la course.
Vérifiez quelles seront les transitions à effectuer : trouvez où se réalisent les entrées et les sorties de l’eau et le type de terrain. Par exemple, si il s’agit d’entrées et sorties douces, ou si au contraire les changements sont abruptes et impliquent des sauts, déplacements ou de l’escalade, puisque la technique que vous utiliserez selon les cas devra varier. Voir la vidéo « comment s’entrainer aux transitions ».
De la même manière, vérifiez les types de terrains sur lesquels se dérouleront les transitions (sable, gravier, arbustes, roche…) et si ce terrain se maintient en conditions stables en fonction des conditions climatiques, car ce n’est pas la même chose de courir sur de la roche sèche que sur de la roche mouillée qui pourrait être très glissante.
Si vous êtes dans l’incapacité de vérifier cela, il est fortement recommandé de faire des recherches sur internet et d’examiner le parcours en mode « satellite » sur Google Maps ou Google Earth, ce qui pourra vous aider à analyser le type de terrain auquel vous serez confronté. Cependant, vous devrez être vigilant le jour de l’épreuve puisque les milieux, surtout de végétation, pourront varier et altérer les conditions de transition.
TIP 2 | Prenez en compte les distances que vous devrez parcourir à chaque segment
Cela peut paraitre simple, mais bien faire attention aux distances des transitions peut être d’une aide précieuse pour effectuer chaque segment de manière adéquate.
Bien que cela puisse vous sembler bête, notez les distances à parcourir, par exemple, 500 mètres de natation, 1km de course, 200 mètres de natation… et ainsi de suite, afin de planifier chaque segment au mieux.
En ce qui concerne les segments de natation, demandez-vous si vous aurez assez de temps pour mettre/enlever les accessoires que vous portez comme les plaquettes ou le pull buoy (si vous décidez de les emporter, comme nous l’avons expliqué dans les vidéos dédiées à l’équipement) ou si il vaut la peine de mettre ou enlever certains accessoires de la combinaison tels que le bonnet.
Si au contraire le segment concerne la course à pied, il faut analyser le climat et la distance que l’on pourrait affronter dans chaque cas pour déterminer si cela vaut la peine ou non de se « débarrasser » d’éléments superflus, comme par exemple si il vaut mieux enlever le haut ou la totalité de la combinaison ou certains accessoires pour ne pas avoir froid.
Prenez en compte que si les transitions sont trop courtes, il n’est peut-être pas nécessaire d’utiliser certains éléments d’appui ou de les utiliser de manière différente que d’habitude, mais si par contre la transition est longue, il vaut peut-être mieux perdre un peu de temps à bien se préparer et s’assurer que rien ne vous gêne ou ne vous ralentisse.
Essayez de bien prévoir ces distances, et pendant l’épreuve n’oubliez pas de regarder le plan avec votre partenaire pour ne pas commettre d’erreurs irrattrapables.
TIP 3 | Pensez à l’équipement que vous porterez et si celui-ci pourrait affecter vos transitions.
Pour finir, il est important de s’entrainer à réaliser les transitions en portant sur vous le même équipement que vous porterez pendant la course, et que vous vous demandiez quelles répercussions celui-ci peut avoir sur vos mouvements.
En plus des éléments tels que les plaquettes ou le pull buoy, un autre élément que l’on oublie souvent mais qui peut jouer un rôle fondamental lors des transitions est le bungee cord.
Cette corde qui vous unira à votre partenaire sera très important pour les entrées et sorties d’eau et peut aussi vous jouer des tours si vous ne l’utilisez pas correctement. Il faut être vigilant à ne pas s’accrocher accidentellement à d’autres participants ou à la végétation. Pour cela, vous pouvez déterminer des rôles au sein de l’équipe où l’un d’entre vous « vérifie » que le chemin emprunté est le bon, et qu’il n’y ait aucun type de danger ou d’obstacle majeur.
Pour finir, si vous vous lâchez à un certain moment, il est important de déterminer qui gardera la corde pour éviter de la perdre.
Sur la vidéo suivante, nos swimrunners nous racontent leur propre expérience en la matière. N’oubliez pas de vous abonner à notre chaîne Youtube si vous souhaitez en savoir plus, et de nous suivre sur les réseaux sociaux pour être à jour sur les nouveautés d’Orca !
14 août 2018
Comme nous le faisons ces dernières semaines chez Orca, nous continuons avec le swimrun, cette fois-ci pour parler de l'équipement et plus précisé...
24 juillet 2018
Comme nous l'avons commenté dans le premier post, la majorité des swimrunners proviennent du triathlon, où leur plus gros handicap est généralemen...
19 juillet 2018
Le swimrun, comme nous l'avons dit dans la publication précédente, et comme nous l'expliquent nos swimrunners dans la vidéo à la fin de cette...